Sœur Françoise Jotte, smsm, 26 juillet 1932 – 17 décembre 2019
Sr Fra,çoise JOTTE, la 1ère à gauche, pendant une réunion de la coordination « Maristes-Laïcs »
Marcelle Françoise Jotte nait à Sens le 26 juillet 1932. C’est la plus jeune des trois filles de Marcel Jotte et Louise Yvonne Dufois. A 23 ans, elle entre chez les Sœurs Missionnaires de la Société de Marie. Au noviciat, elle reçoit le nom de S. Marie Jean Jacques et fait profession le 8 septembre 1957.
Elle a servie le Seigneur en Afrique et aussi dans son pays la France.
Sa maladie évolue si rapidement et le mardi 17 décembre, son Seigneur vient la chercher à hôpital des Charpennes où elle a été hospitalisée.
Ses funérailles ont été célébrées dans notre chapelle le 20 décembre en présence de ses neveux, de sa petite-nièce, de sœurs Maristes, des Sœurs de Notre Dame des Apôtres et Auxiliatrices, de voisins et amis.
Françoise, tu étais la bonté même. Tu as vécu en vraie Missionnaire, Mariste, Religieuse. Toi qui disais de Dieu :
«Ce qui me fait vivre, c’est Sa grâce qui me soutient à chaque instant » nous te confions à Sa grande miséricorde.
« C’est bien, bonne et fidèle servante, entre dans la joie de ton Seigneur. » (Mt 25, 21)
Extrait de la lettre biographique écrite par la communauté de Ste Foy
TEMOIGNAGE
J’ai travaillé avec elle (Sr Françoise Jotte) pendant 8 ans à SAINT-VICTORET où j’étais un des trois membres fondateurs de la communauté. Elle fut proche de tous les Frères. Avec elle, nous avons traversé bien des épreuves dans une Église locale très divisée et très minoritaire cependant (1% de pratiquants réguliers !) avec des communautés refermées sur elles-mêmes. Elle fut une Sœur solide, un roc au milieu de trop nombreuses tempêtes, une femme de foi, bienveillante à l’égard de la population peu aisée de MARIGNANE/ST-VICTORET, responsable locale du Secours Catholique. Elle était présente aux réunions de préparation avant l’installation définitive de la communauté. Elle fut toujours très présente auprès des Frères, bonne conseillère, essayant de créer partout des liens, d’exercer une charité inventive à tout moment. (Fr Alain Steinback)